Quelle est l'Histoire de l'Hypnose ?
Chronologie et bibliographie de l’Hypnose à travers le temps
Dates Clés de l’Histoire de l’Hypnose
“Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose.” Freud
L’Histoire de l’Hypnose plonge ses racines dans les pratiques les plus anciennes de l’humanité. Depuis les temples d’Esculape où la guérison passait par l’interprétation des rêves, jusqu’aux rituels, formules magiques et cérémonies religieuses, la suggestion a toujours été un outil central dans l’art de guérir.
Découvrez comment ces traditions anciennes ont évolué pour former les bases de l’Hypnose moderne.
Préhistoire de l’Hypnose
Premières traces : il y a plus de 6000 ans en Mésopotamie où l’on retrouve des récits de guérisons qui utilisent des états modifiés de conscience produits par la parole.
Papyrus Ebers : 1500 avant JC, on y trouve décrits 877 procédés médicaux dont des méthodes qui ressemblent à l’auto-suggestion de l’Hypnose thérapeutique : “Pose ta main sur la douleur et dis que la douleur s’en aille”.
Temples d’Esculape : 600 ans avant JC, les célèbres “temples de guérison” dédiés au dieu grec de la médecine, Asklepios, né à Epidaure de l’union d’un dieu et d’une mortelle. On retrouve ces temples dans tout le monde Antique, d’Epidaure à Athènes et jusqu’à Pergame (Turquie) ou Rome (suite à l’épidémie de peste de l’année 293 avant JC). Les prêtres spécialisés y murmuraient aux malades à demi-assoupis des “paroles de guérison” pour déclencher des rêves et soigner leurs maux (terpnos logos : la parole bienfaisante).
Antiphon d’Athènes : 450 avant JC, thérapeute, rhéteur, sophiste, il étonna ses contemporains par sa pratique d’une “thérapie de l’âme fondée sur le discours”. Il pratiquait la thérapie par la parole et l’interprétation des rêves : “Chez tous les hommes, la pensée gouverne le corps pour la santé et la maladie et pour tout le reste.” C’est le premier thérapeute par la parole à avoir posé des “protocoles” (ce qui n’arriva plus ensuite avant la Nouvelle Hypnose, en 1980 !). Il abandonna la thérapie au profit de la politique, ce qui fut cause de sa mort prématurée…
Transes et rituels suggestifs : les coutumes de soin par l’esprit se retrouvent à toutes les époques avec les sorciers, chamans, druides et prêtres. Ainsi, “la suggestion appliquée à l’art de guérir remonte à l’enfance de l’Humanité” (Bernheim, 1891). Que ce soit avec des chants, prières, hymnes, rituels, mantras, formules magiques, paroles divines, cérémonies religieuses, sacrifices, potions, talismans, amulettes, aimants et autres artefacts… Autant de méthodes qui relèvent des états modifiés de conscience et de la suggestion.
Ainsi, la transe et le pouvoir des mots resteront liés pendant longtemps à la magie et à la religion.
Les Précurseurs de l’Hypnose
Paracelse : à l’origine du traitement avec des aimants (magnétisme) et des actes psychomagiques. Véritable magicien et érudit de l’époque utilisant l’alchimie, l’astrologie, les plantes, les métaux, des formules magiques…
Il influencera Mesmer avec l’idée du magnétisme.
Les sept livres de l’archidoxe magique (vers 1525)
Gottfried Wilhelm Leibniz : chercheur et philosophe humaniste allemand, décrit pour la première fois l’idée d’un “automate”, ancêtre de la notion d’Inconscient.
Discours de métaphysique (1686)
Johann Joseph Gassner : prêtre exorciste contemporain de Mesmer, considéré comme le précurseur de la thérapie avec son exorcimus probativus (usage intensif de suggestions, formulées en latin).
Pour distinguer une cause organique, “psychogène” ou spirituelle, il avait pour habitude de suggérer l’aggravation des symptômes à ses patients. Si le procédé réussissait, il savait qu’il ne s’agissait pas d’une “possession” (car quel démon obéit aux ordres ?) et il renvoyait alors la personne consulter un médecin.
Introduction pour combattre le diable (1774)
Frantz Anton Mesmer : médecin badois (Allemagne), inspiré par Paracelse et fondateur de la théorie du magnétisme animal (fluidiste). Il décrit l’existence d’un “fluide universel” pouvant être manipulé et rééquilibré dans le corps humain en cas de mauvaise répartition. Grâce à différentes techniques, ce fluide est susceptible d’être canalisé et transmis à d’autres personnes, provoquant des “crises” chez les malades pour les guérir.
Ses élèves, ne pouvant reproduire les succès thérapeutiques de Mesmer, vont commencer à parler à leurs patients (suggestions) : “Je vais passer mes mains et vous allez ressentir une chaleur qui va vous apaiser”. On voit là les premières formes de ce qui deviendra l’Hypnose, formalisée en 1843 par le médecin James Braid (importance de l’imagination et de la suggestion).
Mémoire sur la découverte du magnétisme animal (1779)
Marquis de Puységur : élève de Mesmer et psychofluidiste, conserve la notion de fluide, mais insiste sur la volonté essentielle du magnétiseur de guérir et du patient d’être guéri (effet psychologique). Il découvre par hasard la transe somnambulique en magnétisant un jeune berger, ainsi que le phénomène d’amnésie.
Mémoires pour servir à l’histoire et à l’établissement du magnétisme animal (1784)
Abbé Faria : de son vrai nom José Custódio de Faria, prêtre portugais, élève de Puységur et imaginationniste, nie l’existence d’un fluide et prône les effets de l’imagination (la notion de psychologie n’existant pas encore au sens actuel). Pour soigner ses patients, il pose les bases des suggestions verbales simples (“Dormez !”, “Regardez ma main”) et développe l’utilisation de la focalisation (sur un point de sa main, justement), associée à des pseudo-passes magnétiques (effet de conviction).
De la cause du sommeil lucide (1819)
Jules Cloquet : ablation d’une tumeur (cancer du sein) sous “sommeil magnétique” induit par le Dr Chatelain, en 1829. Puis, ablation d’une dent, en 1837.
Naissance de l’Hypnose
James Braid : chirurgien écossais, dans la lignée des imaginationnistes, il cherche une explication aux phénomènes du “magnétisme” (après avoir assisté à une démonstration du magnétiseur Lafontaine) et développe la technique hypnotique, qu’il nomme au début “neurypnology”, puis en simplifiant “hypnology”, puis “hypnosis”. L’état d’hypnose (1841) provient donc d’aspects psychologiques et physiologiques (focalisation du regard) et non d’un fluide transpersonnel. Ce sont les prémisses de la psychologie.
Sa découverte marque le début de l’Hypnose Classique.
Hypnose ou traité du sommeil nerveux (1843)
John Elliotson : introduit l’utilisation de l’Hypnose à l’hôpital pour les anesthésies.
Surgical Operations in the Mesmeric State without Pain (1843)
James Esdaille : médecin écossais, il décrit 2000 interventions chirurgicales sous hypnose dont 300 majeures, réduction de la mortalité post-opératoire et des complications infectieuses de 45%.
Mesmerism in India and it’s practical application in surgery and medicine (1851)
Joseph-Pierre Durand (de Gros) : popularise en France les travaux de James Braid et développe la psychosomatique (troubles physiques d’origine psychologique).
Cours théorique et pratique de braidisme ou hypnotisme nerveux (1860)
Von Hartmann : philosophe allemand, il conceptualise l’idée d’un “Inconscient universel”, déjà présupposé par Leibniz en 1686 et tel qu’on le retrouvera en Hypnose Humaniste (2000). La notion simplifiée d’Inconscient en tant que “partie cachée de la psyché” n’est pas utilisée par les pionniers de l’Hypnose Classique, mais elle le sera beaucoup par Freud, puis par le psychiatre et célèbre hypnothérapeute Milton Erickson, 70 ans plus tard.
Philosophie de l’inconscient (1869)
Donato : de son vrai nom Alfred d’Hont, ancien adepte du magnétisme et célèbre hypnotiseur de spectacle. Il modélise les travaux de James Braid et adapte l’Hypnose au spectacle. Il travaillera à la demande du Dr Jean-Martin Charcot, à la Salpêtrière, pour hypnotiser ses patientes souffrant d’hystérie.
Cours pratique d’hypnothérapie, de magnétisme et de suggestion (1876)
L’Âge d’Or de l’Hypnose
Ambroise-Auguste Liébeault : médecin français, influencé par le Dr Broca (incision d’un abcès de l’anus sous hypnose en 1859), il intègre les travaux de James Braid à sa pratique et convainc le professeur Hippolyte Bernheim de l’importance de l’Hypnose et de la suggestion verbale (réussissant à calmer les douleurs de patients là où ce dernier n’y arrivait pas).
Le sommeil provoqué et les états analogues (1889)
Hippolyte Bernheim : neurologue, professeur de médecine et figure majeure dans l’histoire de l’Hypnose, crée l’École de Nancy (École de la suggestion) avec Liébeault, Beaunis et Liégeois, et popularise le terme « psychothérapie » (1891) désignant le soin par la suggestion hypnotique.
Il définira la suggestion comme “l’acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui”.
Hypnotisme, suggestion, psychothérapie (1891)
Henri-Étienne Beaunis : associé de Bernheim, fonde avec Théodule Ribot le premier laboratoire de psychologie expérimentale.
Le somnambulisme provoqué : études physiologiques et psychologiques (1887)
A. A. Tokarski : premier « Cours d’hypnose et de psychologie physiologique » à l’université de Moscou en 1891. Puis, un peu plus tard, théorie neurophysiologique de l’Hypnose par Ivan Petrovitch Pavlov (père de la théorie du “conditionnement”).
Jean-Martin Charcot : père de la neurologie, découvre l’Hypnose en assistant à une démonstration de l’hypnotiseur de spectacle Donato. Farouchement opposé à Bernheim, Charcot pensait que l’Hypnose était un état pathologique (propre aux patientes hystériques) et non naturel (produit par la suggestion). C’est la fameuse querelle entre l’école dite “de la Salpêtrière” (Charcot) et l’école “de Nancy” (Bernheim).
La foi qui guérit (1897)
Jules Liégeois : juriste de profession et associé de Bernheim, connu pour son travail sur les suggestions criminelles.
De la suggestion et du somnambulisme dans leurs rapports avec la jurisprudence et la médecine légale (1899)
Pierre Janet : figure majeure de la psychologie française au XIXème siècle, Pierre Janet développe la notion d’inconscient / subconscient avant Freud (L’automatisme psychologique, 1889), la notion de dissociation psychique, les suggestions post-hypnotiques, l’écriture automatique, les régressions hypnotiques curatives…
Les médications psychologiques (1919)
Diminution de l’intérêt de l’Hypnose avec :
la Psychanalyse, la Guerre et les progrès de la Pharmacologie
Sigmund Freud : élève de Charcot en 1885 (pendant 6 mois) et de Bernheim et Liébeault en 1889 (pendant 2 ans), a pratiqué assidument l’Hypnose, notamment avec Joseph Breuer (découverte de la catharsis), et traduit une dizaine d’ouvrages spécialisés en allemand, puis a abandonné l’Hypnose pour développer sa propre pratique : la Psychanalyse.
Vers la fin de sa vie, dans son livre Analyse finie et infinie (1937), il témoignera : “Il n’y a pas à ce jour de substitut à l’hypnose”.
Oskar Vogt : neurologue allemand, inventeur de l’auto-hypnose (1900), il fonde avec Freud le “Journal de l’hypnostisme” en 1902. Son élève, Johannes Heinrich Schultz, crée le Training Autogène, fortement inspiré de l’auto-hypnose de Vogt.
Carl Gustav Jung : élève de Freud, a pratiqué et enseigné l’Hypnose avant de l’abandonner estimant la suggestion directe trop confrontante. Il développe la psychanalyse jungienne et utilise par la suite une technique qu’il nomme “Imagination active” (une sorte d’auto-hypnose et d’auto-analyse) pour accélérer l’intégration des contenus inconscients de ses patients (1913).
Émile Coué : pharmacien, élève de Liébeault, il popularise auprès du grand public l’auto-suggestion (issue des travaux de Pierre Janet) utilisée de manière consciente (selon les principes de Bernheim, suggestion à l’éveil sans hypnose).
La maitrise de soi-même par l’autosuggestion consciente (1926)
J. A. Hadfield : psychanalyste anglais d’influence jungienne, il crée le terme “hypno-analyse”, premier pont entre l’Hypnose et la Psychanalyse (1928).
Clark Hull : ingénieur minier reconverti en psychologie suite à une polio qui lui laissa une jambe paralysée, il fut le professeur de Milton H. Erickson (qui lui aussi avait souffert de la polio). Il développa l’Hypnose expérimentale (approche universitaire) et tendit à prouver scientifiquement l’existence de l’Hypnose par de nombreuses approches standardisées.
Hypnotisme et suggestion – Essai expérimental (1933)
Léon Chertok : psychiatre et psychanalyste converti à l’Hypnose suite à un stage en psychiatrie et psychosomatique, en 1947, avec le neurologue, psychanalyste et célèbre hypnothérapeute new-yorkais Lawrence Kubie (qui a participé également à faire connaître Milton Erickson, en 1942). Chertok participe à maintenir l’Hypnose au goût du jour, en France, pendant la période d’après-guerre. Jusqu’alors il y avait 3 types d’hypnose : une Hypnose scientifique (cf. Clark Hull), une Hypnose analytique (cf. Hadfield) et une Hypnose pavlovienne (cf. Pavlov), plus physiologique : on parlait alors “d’inhibition corticale curative”.
L’hypnose (1959)
Evolution : l’Hypnose Ericksonienne
Milton Hyland Erickson (1901-1980) : médecin psychiatre et psychologue, directeur de recherche et de formation psychiatrique, il développe et enrichit l’utilisation d’une Hypnose plus stratégique et indirecte : l’Hypnose Ericksonienne. Devenu, vers la fin de sa vie, le père de la thérapie stratégique, il influence la thérapie systémique. Co-fondateur et longtemps président de “The American Society of Clinical Hypnosis”, il relance l’intérêt pour l’Hypnose et écrira plus de 140 articles scientifiques à ce sujet.
André Weitzenhoffer : né à Paris, mais ayant passé la majeure partie de sa vie aux USA, docteur en psychologie et chercheur, ami de Milton Erickson et figure importante de l’American Society of Clinical Hypnosis, il effectue une synthèse des travaux scientifiques sur l’Hypnose expérimentale depuis 1933 : “l’Hypnose est un fait établi scientifiquement” (p. 303). Il est célèbre pour son échelle d’hypnotisabilité de Stanford, très utilisées à l’époque, développée avec Ernest R. Hilgard, autre sommité de la recherche sur l’Hypnose.
Hypnose et suggestion (1979)
Ernest L. Rossi : ancien psychanalyste jungien, converti à l’Hypnose, bras droit d’Erickson, il participe à la publication des travaux de Milton H. Erickson. Par ailleurs, ayant mis au point les premiers protocoles en Hypnose thérapeutique, il est considéré comme le grand-père de la Nouvelle Hypnose : “Il s’est passé exactement 12 ans depuis que j’ai commencé mes études avec Milton H. Erickson, comme une route personnelle vers la Nouvelle Hypnose”.
The collected Papers of Milton H. Erickson on Hypnosis (1980)
Jeffrey Zeig : psychologue américain, contribue à la large diffusion des travaux de Milton H. Erickson, il crée la Fondation Milton Erickson, à Phoenix en Arizona, en 1979.
Un séminaire avec Milton H. Erickson (1980)
Dave Elman (David Kopelman) : contemporain d’Erickson, homme de radio et de scène, il développe un style rapide et efficace d’Hypnose pour le music-hall. A la fin de sa fin, ayant quitté le monde du spectacle, il formera des milliers de médecins et d’anesthésistes, et surtout des dentistes.
Hypnotherapy (à l’origine sous le titre “Findings in Hypnosis”, 1964)
Jacques-Antoine Malarewicz & Jean Godin : psychiatres ayant introduit l’Hypnose Ericksonienne en France, au début des années 1980, surtout auprès d’un public médical.
Milton H. Erickson – De l’hypnose clinique à la psychothérapie stratégique (1986)
William O’Hanlon : thérapeute américain, pionnier de l’approche orientée vers la solution (L’orientation vers les solutions, 1992), Bill O’Hanlon participera également à la diffusion des travaux d’Erickson (Taproots, 1982 ; Thérapies hors du commun, 1990).
L’hypnose orientée vers la solution (1995)
Nouveau départ : la Nouvelle Hypnose
Daniel Araoz : célèbre sexologue et hypnothérapeute amérciain, père de la “Nouvelle Hypnose” en 1979, l’utilisation moderne de l’Hypnose, notamment grâce à des protocoles aidants. Le terme “Nouvelle Hypnose” est un clin d’oeil à la “Nouvelle Ecole” du professeur Bernheim, pionnier français de l’Hypnothérapie qui insistait sur l’importance du langage et du choix des mots (suggestions). Il faudra cependant attendre les années 90, en France, avant que l’idée de Daniel Araoz soit vraiment formalisée, enrichie, puis popularisée au plus grand nombre par Olivier Lockert, hypnothérapeute français.
New Hypnosis (1979)
David Calof : hypnothérapeute américain, pionnier de la Nouvelle Hypnose, David Calof fut aussi le dernier élève d’Erickson. D’abord rejeté par celui-ci (par manque de diplôme !), Calof reviendra auprès d’Erickson avec le soutien de Bandler & Grinder avec qui il travaillait. Pendant 5 ans, il apprit les méthodes éricksoniennes, qu’il mit ensuite de côté pour se centrer davantage sur le patient : plus d’écoute, travaille plus lentement, patient au centre de la thérapie… approche typique de la Nouvelle Hypnose.
Monsieur ma femme, madame mon mari (1996)
L’Hypnose d’Aujourd’hui
Olivier Lockert : pionnier de l’Hypnose contemporaine, il est connu pour avoir ouvert le champ de la Nouvelle Hypnose au début des années 1990, en améliorant de nombreuses techniques de langage hypnotique : milton-modèle, saupoudrage, métaphores multi-niveaux, etc. et en développant des protocoles simples, appuyés sur des structures PNL en Hypnose (“Transformation Hypnotique Intérieure”, “Reconstruction Hypnotique”, etc.), qui facilitent l’apprentissage de l’Hypnothérapie.
Il est également le co-fondateur avec Patricia d’Angéli de l’Hypnose Humaniste, thérapie existentielle, basée sur une véritable philosophie de vie ; thérapie transpersonnelle, qui intègre tous les niveaux de l’existence : santé, qualité de vie et évolution humaine ; et alliance active entre hypnothérapie et psychanalyse jungienne, grâce au travail hypnotique sur les symboles et archétypes.
Auteur d’une vingtaine d’ouvrages, spécialisés et grand public, Olivier Lockert a formé des dizaines de milliers de personnes et popularisé l’Hypnose thérapeutique en France, qui s’est ensuite largement développée.
Hypnose (2001)
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